Une femme, camerounaise résidant à Abidjan et dont nous tairons le nom, avait un besoin urgent de soins médicaux.
Elle s’était rendue à la chancellerie de son pays pour obtenir de l'aide, en vain.
Son corps sans vie a alors été découvert en milieu de journée dans un garage, au sein de la chancellerie. Son mal a eu raison d’elle faute, de fait, de moyen nécessaire et d’assistance.
Contactés par KOACI, des représentant des autorités camerounaises en Côte d’Ivoire, au constat embêtées, n’ont, à cette heure, souhaité commenter ce nouveau drame social.
Mourir par manque de moyen pour ses soins est par ailleurs une réalité tenace en Côte d’Ivoire, pays qui n’offre quasi aucune sécurité face au fléau de la maladie.
Adriel, Abidjan