Même si Emmanuel Macron affirme qu’avant son arrivée au Burkina il y a avait déjà songé et avait prévu des réponses à propos, nombreux sont les observateurs qui estiment que ce sont les questions percutantes de cette étudiante qui auraient poussé le chef de l’Etat français de passage à Ouagadougou, fin novembre, à accepter non seulement de déclassifier les dossiers de l’affaire de l’assassinat du président révolutionnaire et fondateur du Faso, Thomas Sankara, mais également à se disposer à l’extradition au Burkina de François Compaoré, frère cadet de l’ex-dictateur de Ouagadougou, accusé par la justice militaire burkinabé “d’incitation à assassinats”.
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