Des institutions solides qui garantissent l’intégrité dans la gestion des affaires publiques sont essentielles sur la voie d’une croissance plus élevée et plus inclusive. Les pays du monde entier qui ont amélioré leurs systèmes de gouvernance, comme le Botswana, le Rwanda et les Seychelles en Afrique subsaharienne, récoltent un “dividende de la gouvernance”. Le Liberia, la Sierra Leone et l’Angola ont démontré que les réformes sont possibles, même dans des environnements fragiles. Les pays dotés d’institutions plus fortes ont également été en mesure d’organiser une réponse plus efficace à la pandémie. Pour discuter de cette question et tenter d’évaluer l’importance de la bonne gouvernance et de la transparence en Afrique subsaharienne, le FMI a publié un ouvrage intitulé “Good Governance in Sub-Saharan Africa : Opportunities and Lessons” le 18 mars.
Rejoignez-nous pour le lancement virtuel du livre le jeudi 19 mai à 11h00 à Washington D.C. (15h00 GMT) avec des décideurs politiques, la société civile et des universitaires africains. La discussion portera sur la manière dont la région peut récolter les fruits de la bonne gouvernance, sur la manière de lutter contre la corruption, en particulier dans les pays fragiles, et sur les réformes qui peuvent être mises en œuvre pour améliorer la gouvernance, la transparence et la lutte contre la corruption.
Modérateur :
Antoinette M. Sayeh, Directrice générale adjointe, FMI
Panélistes :
Olavo Correia, Vice-Premier Ministre et Ministre des Finances de Cabo Verde
Linda Ofori-Kwafo, directrice exécutive de l’Initiative pour l’intégrité au Ghana
Emmanuel Gyimah Boadi, cofondateur et président du conseil d’administration d’Afrobaromètre
Chris Maloleng, conseiller mondial et directeur exécutif, Good Governance Africa
Avec FMI