Il s’agit incontestablement d’un assassinat politique. 3 mois après l’affaire du présumé coup d’Etat imputé à Ferdinand Ngoh Ngoh et au colonel Israélien Eran Moas commandant du BIR, le journaliste web camerounais en exil Michel Biem Tong revient ce mardi sur les développements sulfureux d’une affaire de dans laquelle les clans Bulu (dirigé par le Directeur du Cabinet du PR, Mvondo Ayolo) et Nanga (dirigé par le Secrétaire Général de la PR, Ferdinand Ngoh Ngoh) sont mortellement à couteaux tirés.
Une fois de plus, le nom du Directeur de la Sécurité Militaire, le non moins sulfureux Joël Emile Bamkoui, est cité dans cette affaire. Or même si son implication dans cet assassinat n’est pas prouvée, il est constant au Cameroun que qui dit Bamkoui dit sang, souffrances, torture, mort…, bref, enfer.